DEBUT:
Les années passant, nos souvenirs s'estompent, se perdent dans les meandres de notre memoire. Ils deviennent des images imprecises empruntes de nostalgie. Pourtant, il nous suffit d'une odeur particuliere pour que tout revive a nouveau et que se reveille nos souvenirs cru perdus a jamais. La cité de Azart était emplis de ces effluves particulieres que l'on ne trouvait nulle part ailleurs. Quand on franchit les grilles des remparts ces odeurs vous sollicite: Le fumet des tavernes, l'odeur des prostituées arkeenes, celle du gitere'petits pains au beurre fondu et a la viande salé que les misereux vendent aux badauds pour quelques centimodollars. A tout cela s'ajoute une pluie fine continuelle qui fait chanter les pavés, ce melange particulier vous impregnent si bien que vous vous sentez soudain chez vous.
Telles sont mes pensées quand moi Shimoigusa de Fartas j'arrive enfin a Azart la cité ou j'ai grandi et que je n'avais pas vu depuis quatre ans.